Journée habituelle [Libre]

De bon matin, lorsque les oiseaux chantonnaient leur mélodie harmonieuse, le soleil commençait à montrer le bout de son nez aux couleurs orangées. C'était une couleur agréable, paisible et vivante. Le vent battait les arbres dans la ville où se trouvait une jolie et charmante maison, petite, aux fenêtres en verre et aux murs peints d’une couleur jaune beige très agréable. La maison résonnait de vide totale, il n'y avait personne, sauf...une jeune elfe pelotée dans un nid de couvertures, dans une pièce sombre à cause des rideaux fermés qui allait bientôt être baignée de la lumière du matin. Un mince filé de lumière sortait de l’entre ouverture du rideau, laissant apparaître le doux visage somnolant de Arwën.

Dans un coin de la pièce, plus exactement là où se trouver une demoiselle encore enfouit dans ses couvertures, rêvant de choses et d'autres, pensant au future peut être meilleur peut être pire. Le petit tas de toile de lins proche qui humait bon le parfum de la vaille remua. Ce qui était enfouit là-dessous émit son un qui, de doux murmure qu'il était au début, devint aussi claironnant que le cris d'un coq réveillant tous le village de son cris cinglant.

Une fois s'être étiré, avoir baillé pendant de longues minutes sans s'arrêter, c'est à se demander si elle avait encore du souffle, Arwën se leva péniblement de son nid douillé encore flou du regard matinal.

L'elfe marchait en direction de l'endroit où elle passait une bonne partie de son temps qui lui était réservé, sa salle de bain. Elle avait une démarche d'ivrogne venant de boire toute les réserve l'alcool d'un bar, chancelant, manquant de très près de se faire assommer par une poutre très basse.

Une fois vêtue d'une robe d’un bleu myosotis, très belle couleur, la jeune femme coiffa sa longue chevelure d’or en les laissant lâché comme elle le faisait à son habitude. Arwën enfila une paire de chaussures fermées et sortit de la pièce.

Arwën trottinait vers la cuisine, s'assise sur un élément de cuisine tout en grignotant un morceau de pain aux céréales. Un maigre déjeuner pour une maigre personne. De toute façon, Arwën n'écoutait pas son ventre crier, elle avait l'habitude d'oublier de manger, avalant juste un verre de lait chaque matin pour ne pas tomber dans les pommes, cela lui suffisait et elle ne voulait pas ressembler à une bouboulle.

Quand elle eut finit son repas matinal, la jeune elfe sortit de sa maison vide de sentiments et de personnes, mais malgré cela, remplit de nombreux souvenirs, autant heureux que triste...

Marchand d'une démarche sereine, Arwën regardait le ciel azure, une belle couleur ressemblant à la couleur de ses yeux a elle lorsque la nuit tombé et que la nuit s’éllevait dans le ciel, des yeux qu'elle avait hérité de son arrière grand-mère, une très belle femme au teint blanc, d’une peau ivoire, comme sa mère et elle.

Zigzagant dans les rues de la ville, croisant le regard de nombreux habitants au regard nerveux, calme et a la fois amusé, des regards changés en fonction de l’humeur des gens ce qui était tout à fait normal, Arwën avait comme destination le temple dédié au dieu Solonor Thelandira, dieu de la chasse et du tire à l’arc.

Une fois arrivée à destination, Arwën entra dans le temple et resta plantée tel un piqué dans le sol devant l’hotel où des offrandes avaient été déposées. La jeune elfe venait là car c’était elle aussi une amie de la nature, elle restait souvent dehors a vrai dire, même quand le temps l’en empêche. Arwën regardait silencieusement l’hotel puis joignit ses mains pour prier dans sa tête le dieu qu’elle vénérait.

Après de longues heures de traversées terrestres, sur son fidèle destrier. Valten arriva auxportes de Kerilin. Il accrocha son cheval loin des regards indiscrets et ota son armure. Sous cette armure de platte noire, une habit sali et usé par le temps passé en guerre. Il ne prit ses marteaux qu'il laissa, eux aussi, avec son cheval. Il devait attiré le moins possible l'attention. Un mendiant est plus admis dans les cités elfes, qu'un guerrier humain.

Il marcha d'un pas lourd et rapide en direction du temple dédié à Solonor Thelandira. Il savait qu'il y trouverait la jeune femme à une heure aussi matinale.

Il n'avait rencontré la jeune fille qu'une trois fois et pourtant il s'en souvenait comme si s'était hier : sa longue chevelure d’or, ses yeux bleux azure. Il se souvenait aussi parfaitement de la robe qu'elle portait à ces moments. Toujours cette robe couleur bleu mysotis comme si cela constituait un pressentiement à l'arrivée imminente du guerrier.

Quand il entra dans le temple, il la vit, avec sa belle robe bleue. Elle était debout, stoique et raide come un piquet. Ses mains étaient jointes pour indiquer son état d'ouverture à la divinité. Tout était sillencieux dans ce beau lieu à l'architecture complaisante et admirable.

Bien que Valten était un guerrier, il savait admirait les belles choses. Pour lui l'architecture était comme la guerre : un art dont seul quelques hommes ont le don de transcander réelement un pouvoir et de faire comprendre et transmettre des messages.

Valten s'approcha silencieusement de la jeune fille. Il lui mit sa main sur son épaule, en signe d'affection et d'amitié. Il la regarda et souriat légèrement pour montrer sa joie. Mais son regard disait tout autre chose et elle comprit rapidement qu'il n'était pas là pour prier...

Calme et silencieuse tel une lionne traversant les plaines à la recherche de chair tendre, Arwën priait au temple comme tous les jours de la semaine, enfin tous les jours, plutôt une fois sur deux. Une légère brise caressa son visage puis ses cheveux qui flottaient presque dans les airs comme de la magie. Ses yeux étaient clos, son esprit conscentré sur une prière dédiée au dieu, son corps immobile. Arwën sentit une présence s'ajouter à la paisibilibée du temple. Qui était-ce ? Un humain ? En tout cas, ce n'était pas un elfe car son intuition lui disait le contraire.

La jeune elfe ne bougea pas. Son désir de savoir qui cela pouvait être et qu'est-ce que cette personne voulait était plus fort que le désir de s'enfuir. D'ailleur pourquoi s'enfuir ? Ca ne servirait à rien. Ses yeux auparavant clos s'ouvrirent doucement, son regard bleu se posa sur l'hotel puis de part et d'autre d'elle. Un ombre s'avançait d'une démarche de guerrier vainqueur qui se dirigeait vers elle. Soudain, Arwën vit son visage. Ce visage ! Elle l'avait déjà vu quelque part, elle en était sûr désormais, c'était un humain ! Mais où l'avait-elle vu ?

Arwën termina sa prière tout en déliant ses mains précédement jointent pour les faire glisser le long de ses hanches. L'elfe se tourna légèrement et grâcieusement vers l'humain qui marchait toujours vers elle. Peut être croyait-il que c'était un prétresse du temple ? Eh bien non, c'était une simple elfe qui priait tous les jours sans pour autant être une prétresse. A première vue, on aurait pas dit que cet humain était un guerrier, mais de sa démarche et ed son regard, Arwën pouvait voir de nombreuse chose invisible à l'oeil nue.

L'humain s'arreta juste devant elle, d'un geste, il posa sa main sur l'épaule de la jeune elfe d'un signe presque réconfortant et amicale. Son regard pure se posa sur le regard du guerrier, en tous les cas, il n'était pas là pour prier ou pour faire une offrande au dieu, mais pourquoi ? La bouche de Arwën s'entrouvrit un instant tandis qu'elle chercher des mots pour faire une phrase servant à lui demander se qu'il désirait. Après quelques minutes de silence pesant, l'elfe trouva enfin. Une voix claire et douce s'éleva dans le temple, la voix d'Arwën.

"...Dites moi se qui vous ferez plaisir voyageur...Quels étaient vos intentions en venant ici ? Je ne puis vous aider, je ne viens que pour prier...Je ne vie pas ici..."

Arwën espérait vraiment savoir pourquoi cet homme était venu la voir, en plus c'était un humain et rare sont les humains qu'elle avait croisé. Bisarement, son esprit semblait avoir déjà vu cet homme, pas en rêve mais peut être se souvenait-il d'une rencontre dans le passé.

**Dites moi ce qui vous ferez plaisir voyageur**

Ces mots, cette phrase, retentirent durant une longue période dans la tête de Valten. Il ne pouvait détaché ses yeux de la belle Arwën. Elle était là devant lui, merveilleuse dans sa belle robe mysotis, ses yeux étaient clairs et ils respiraient la sincérité. Il ne savait pas comment aborder un sujet tel que la guerre avec une fraicheur et une innocence pareille.

Valten était rude et froid quand il s'adressait à des personnes, c'est pour cela que rare étaient les conversations tenues par ce guerrier. Cependant, elle lui donnait de la gaiété et remplissait son coeur de bonheur. La voir était pour lui comme voir un rayon de soleil après une nuit de bataille pendant laquelle la seule source de lumière sont les flammes et les explosions.

Quand il posa sa main sur son épaule, elle ne fit aucun signe de recul, elle ne repoussa pas son geste amical et pourtant elle semblait perdue. Valten savait qu'elle ne se souvenait plus de lui. Cependant lui se souvenait de leur recontre. C'était un soir de décembre, une réunion guèrrière c'était tenue à Kerilin et il y avait assisté de loin et elle aussi. Ils s'étaient retrouvés dans un jardin à discuter de choses et d'autres mais un homme les avaient rapidement séparés ... et cela il y avait fort longtemps car la femme de Valten était encore en vie et, tout comme aujourd'hui, il en voulait à cet homme car il était simplement amical et bienveillant avec la jeune elfe.

"...Dites moi se qui vous ferez plaisir voyageur...Quels étaient vos intentions en venant ici ? Je ne puis vous aider, je ne viens que pour prier...Je ne vie pas ici..."

Valten n'avait pas pour habitude de parler car ses mots étaient généralement d'une grande tristesse pour ceux qui les entendaient. Mais il ne pouvait passer outre les questions d'Arwën qui étaient réelement bienfondées. Il la regarda et essaye d'être le plus amical possible mais ses yeux ne mentaient surment pas : il ne pouvait lui parler que de ce pourquoi il était venu demoiselle ou pas.

" Le bruit d'une guerre court princesse... apprenez-moi en plus à ce sujet, c'est pourquoi je suis la en ce moment à ce côtés... "

Son regard bleu infinit ne se détachèrent pas de la silhouette du guerrier. Qu'il semblait fort, robuste mais à la fois un homme calme. C'était étrange de voir cet homme déjà rencontré auparavant, un souvenir traversa l'esprit libre de l'elfe. Un soir de décembre, un soir blanc car la neige était tombée sur les vastes terres elfiques. Une réunion guerrière c'était mise en place à Kerilin pour parler des préparatifs d'une guerre, Arwën y participait ainsi que l'humain mais ils étaient assis loin l'un de l'autre. Bien sûr c'était il y a fort longtemps, Arwën venait de s'en souvenir comme l'on se souvient de son premier ami.

Même si ce souvenir était lointain, l'elfe se rapellait de chaques détails, son visage n'avait pas changé sauf l'expression de son regard légèrement dure mais à la fois sensible a la beautée du visage pure de la jeune elfe en face de lui et sauvage comme l'ai un guerrier. De toute façon, Arwën n'aurait peut être pas pu participer à une guerre car elle se ferai tuer, pas facilement mais elle ne resterait surment pas en vie.

La voix de l'humain se fit entendre, une voix roque et dure, une voix qui imposait le respect.

" Le bruit d'une guerre court princesse... apprenez-moi en plus à ce sujet, c'est pourquoi je suis la en ce moment à ce côtés... "

Les yeux bleu de Arwën se posèrent sur le regard neutre du guerrier. Son poingt se reserra légèrement et elle recula légèrement puis sa bouche aux lèvres sèches s'entrouvrit. Au fond d'elle, elle ne savait pas trop de quoi il parlait et puis elle ne devait pas dire se qu'elle savait, le peu qu'elle savait. L'avait-il appelé 'princesse' ? C'est un titre honnorifique venant d'un homme mais même s'il l'avait menacé d'une arme, elle n'aurait pas parlé.

"...Je...Enfin je ne sais rien...Je ne suis pas un mercenaire qui pie et tue tout ce qu'il voit. Je n'aime pas l'idée d'une guerre et encore moin de violence, je suis pacifiste...Je ne vous serais d'aucune aide..."

L'elfe tourna les talons, se mise dos à son interlocuteur et commença à partir en direction de la sortie.

La princesse décrocha quelques mots. Elle avait la bouche sèche, elle balbutiait et avait du mal à trouver ce qu'elle voulait dire. Mais Valten compris les choses: il lui avait fait de la peine et avait touché un point sensible. Aux mots de Valten, ses yeux qui étaient d'un bleu profond devinrent noir de tristesse.

" Je n'aime pas l'idée d'une guerre et encore moins de violence " Il venait de comprendre ce qu'il avait fait. Un processus de rejet était en train de commencer. Il n'avait prononcé qu'une phrase et déjà il l'avait peiné, et il se l'était mis à dos. De plus elle avait une piètre opinion de humains et surtout des guerriers comme lui.

** qui pie et tue tout.... **

Il prit une grande respiration et prit sur lui. Il voulait changer les choses et même si il n'avait semé que pertes et fracas dans tout ce qu'il avait tenté de faire, Valten la regarda avec des yeux emplit de regrets. Mais se fut trop tard L'elfe tourna les talons, se mise dos à son interlocuteur et commença à partir en direction de la sortie. Il avait tout gaché et il ne pouvait rien à cela.

A de grandes enjambées, il la rattrapa et il lui prit le bras. Son regard noir croisa celui de l'elfe.

" Je suis désolé, j'aurai du me douter qu'en venant ici, dans ce temple, je ne trouverai pas quelqu'un ave cqui je pourrai parler de cela. J'aurai du y penser ... je.suis...désolé.princesse ... "

L'humain semblait avoir comprit qu'elle était déçu, qu'elle n'aimait pas la violance ni la guerre, qu'elle était sensible. Lorsqu'elle s'en alla, l'homme courut en faisant de grandes enjambés tel une gazelle pour la rattraper et lui présenter ses excuses. Son regard croisa celui de l'humain. Sa voix roque se transforma en une voix un peu plus calme et douce pour ensuite lui dire.

" Je suis désolé, j'aurai du me douter qu'en venant ici, dans ce temple, je ne trouverai pas quelqu'un ave cqui je pourrai parler de cela. J'aurai du y penser ... je.suis...désolé.princesse ... "

Arwën cligna deux fois des yeux et remua son nez. On aurait dit un pauvre petit lapin blanc entre les mains d'un chasseur. Ses yeux bleu pervanches étaient presque humides, on aurait dit qu'Arwën avait réssament pleuré. Elle lui fit signe qu'il pouvait la lacher et l'elfe frolla sa joue avec sa main douce pour lui dire en quelque sorte qu'elle ne lui en voulait pas. De sa belle voix claire telle de l'eau de source s'éculant le long d'une montagne pour s'écraser dans une rivière.

"...Ne vous inquiétez pas mon ami...Je suis juste un peu...Enfin je n'aime pas parler de ce sujet là...C'est moi qui aurait dû m'exuser pour être partit aussi vite...Je sais que vous ne vouliez pas me faire de la peine, vous êtes tout excusé..."

Arwën esquissa un large sourire exibant ainsi sa magnifique dentition droite et blanche, éclairant son visage d'une pâle lueur, faisant ressortit son regard qui devenait de plus en plus bleu et de plus en plus voyant. Une question lui brûlat les lèvres comme un tisonnier enflammé.

"...Excusez moi d'être indiscrète, mais comment vous appelez vous ?"

Elle le laissa la rattraper et s'excuser. Puis elle lui parla d'une voix douce et claire. Sa voix était comme une pluie battante d'après guerre. Celle qui lave tous les soucis, celle qui efface la mort et qui fait s'écouler le sang. Elle était claire mais emplit de renouveau. Sa main sur la joue barbue de Valten lui fit comme un electrochoc. Un souvenir lui revint à l'esprit, le souvenir d'une lettre qu'il écrit lorsqu'il était en guerre.

Ton Epoux qui t'aime a écrit:

Tu me manques terriblement, donnes le bonjour à toute la famille et les amis, dit leur que je les aime tous et qu’ils me manquent, porte toi bien ainsi que la petite Anna à qui je fais une grosse bise. Je t’embrasse tendrement.

Ton époux qui t’aime, Valt'.

Valten n'avait pour habitude de craquer mais il se mit à genoux comme un prince se mettrai à genoux devant son empereur. Il était à genoux devant son amie et ses paroles lui fit un plus grand bien. Il lui prit la main et la baisa comme un preux chevalier qui courtiserai sa dame. Puis il se releva et la regarda au plus profond de ses yeux.

"...Excusez moi d'être indiscrète, mais comment vous appelez vous ?"

Valten fut supris et de part son sourire éclatant_-cela faisait énormément longtemps qu'il n'avait eu droit à pareil offrande-_ et aussi par sa question. Pourquoi voulait-elle savoir cela?! C'était la première fois que l'on se préoccupait de lui car la dernière fois que l'on s'était inquiété de lui s'était quand il avait reçu un coup d'épée dans l'épaule et la seule question qu'on lui avait posée était:

A qui revient le trône chef?!

Quan il s'était relevé et remis de sa blessure Valten tua l'homme qui avait osé lui manquer de respect en croyant à sa mort et en voulant profiter de cette dernière. A cette pensée Valten toucha son épaule qui lui fesait mal de temps à autre. Remis de ses pensées, il la fixa donc dans ces yeux devenus d'un bleu profond et lui repondu sereinement

" Valten, madame. "

Il évita de poser trop de question, il évita de trop parler car il craignait le fait qu'à chaque fois qu'il pose une question, une indélicatesse soit faite. Il n'aimait mettre mal à l'aise personne, sauf ses ennemis avec lesquels il prenait un mal-un-plaisir à les voir et faire souffrir. Cependant il avait toujours été respectueux avec les dames, quelques soient leur rang et leur age. Il n'avait jamais manqué de respect à personne quand il était hors-guerre car il ne parlait à personne en fait car il n'aimait personne. Il vouait une rancune particulière au Monde qui l'avait fait naître.

Cependant, avec cette jeune prêtresse tout était différent ...

Il y eut un grand silence qui se fit sentir et entendre. L'humain s'appelait alors Valten. Drôle de nom mais facile à retenir. Cet homme semblait intimidé par Arwën. Le trouvait-il belle ? Le geste fait à Arwën par Valten fit légèrement rosir les joues gracieuse de la jeune elfe. Personne ne lui avait fait un tel geste auparavant, c'était étonnant mais sa nela géné pas du tout. Un homme, une histoire, un avenir, tel était une phrase quelle avait lut dans un gros bouquin. Chaque homme possède un passé, une histoire et un avenir mais pour les femmes ? Quelle était leur avenir dans ce monde cruel remplit de malheur mais aussi de bonheur emplissant le coeur de ses femmes courageuses.

"Valten ? Eh bien enchantée ! Même si vous devez surment le savoir, je me nomme Arwën Leyhola. Votre visage me fait penser à un grand guerrier ainsi que votre voix qui me rappel le bruit que fait un souffle de vent sur mon visage. Votre voix peut être autant apaisante qu'elle peut être dure et roque à la fois"

La jeune elfe esquissa un autre sourire amicale en direction du guerrier. Que c'était agréable de lui parler. Elle ne s'ennuyait pas et désirait en savoir plus sur lui, mais quelque chose au fond d'elle, une intuition, lui disait qu'il avait connut une grande perte qui pouvait être la cause de ses actions et de son comportement. D'une voix maternelle et réconfortante, elle lui dit calmement, doucement et gentillement tout en posant sa main douce sur son épaule musclée.

"...Je sens en vous un grand vide surment causé par la perte d'un être cher. J'ai ce même vide au fond de mes entrailles. J'ai perdue ma mère. Même si c'était il y a longtemps, une fille doit toujours avoir sa mère près d'elle, c'est comme un baume pour les blessures et une aide précieuse contre les problèmes. Je ne veux point faire ressortir de souvenirs de votre esprit donc je n'irais pas plus loin, sachez que la vie continue et que n'importe qui peut tracer son destin vers une voix de lumière et de tendresse..."

Arwën s'approcha de son front pour ensuite en écarter les quelques cheveux qui s'y balladaient. Elle y déposa ses lèvres et en même temps un doux baiser de réconfort pour un homme au coeur vide et froid. Une fois ses lèvres écarter ainsi que son visage 'lumineux', Arwën offrit un autre beau sourire à l'humain.

Valten resta de marbre face aux paroles d'Arwën. Elle venait d'aborder un sujet que personne auparavant n'avait jamais abordé. Il se contrôla un maximum et préféra partir pour ne pas être désagréable avec cette jeune princesse si innocente et si douce. Ce n'était pas de sa faute, elle essayait juste de l'aider, d'être amicale et sympathique. Mais il ne voyait pas les choses comme cela. Aborder le sujet d'une perte importante était contre sa volonté. Il n'avait jamais voulut parler de cela, il n'avait jamais voulut être sensible, il n'était pas sensible. Il ne ressentait rien pour personne et surtout avec personne.

Il la regarda avec un regard neutre. Il n'était pas méchant car il aimait cette personne, mais il avait perdu cette lueur, cette flamme qu'elle lui avait provoqué depuis leur conversation. Etait-elle comme tous les autres. Ne s'intéressait-elle qu’à ses sentiments, qu’à sa personnalité et ses erreurs, ses fautes et ses pertes ?! Il ne pouvait pas se résoudre à cela car elle lui avait apporté de l’affection, de la sympathie.

Elle était allé trop loin, croyait-elle en raconta l’histoire de sa mère Valten allait se mettre à pleurer ? Il n’était pas qu’un simple humain, Valten était un guerrier, il était le plus grand guerrier de l’Empire après son Grand Empereur Karl Franz à qui il avait fait serment d’allégeance un soir de mars. Il s’en rappelait comme si c’était hier. Il ferma les yeux et revit la scène avec beaucoup d’émotions :

Quand Karl Franz pénétra dans la grande salle, tous se sont prosternés à son passage. Il portait des vêtements magnifiques, une épée tout aussi belle et sa superbe couronne. Nous étions les sept postulants à genoux et l’intendant nous a présenté chacun notre tour, nous lui avons ensuite prêter serment suivit du baiser marquant le lien indéfectible qui nous unit maintenant à lui, la salle a ensuite poussé une clameur pour nous souhaiter la bienvenue.

Lorsque Valten réouvrit les yeux, il découvrit le visage inquiet de la princesse. Il s’approcha vers elle et lui déposa un baiser sur la joue. Il la regarda du plus profond de ses yeux et pour la première fois depuis bien longtemps, ses lèvres asséchées par la quantité importante d’alcool absorbée chaque jour, Valten sourit en lui disant :

« Je suis désolé, je n’aurai jamais du venir vous voir. Ceci à été comme une grande faute pour moi et vous ne pourrez que me blâmer pour ce point. »

Une fois terminé, il prit le chemin de la sortie d’une vive allure. Il n’avait pas put avoir de renseignement mais il savait que la guerre était proche. Il ne savait qui il devait aller voir maintenant pour cela. En tout cas, ce qu’il savait c’est qu’il devait quitter la ville au plus vite car les humains n’étaient pas appréciés en territoire Elfes, et le jour était maintenant à son apogée. Quand il fut au niveau de la sortie il se retourna et regarda la princesse. Les rayons de soleils étaient dans son dos et le représentait tel-un être fantastique avec une aura autour de lui… mais il n’en était rien, il venait sûrement de briser un cœur … de briser une vie, une fois de plus …

Valten resta immobile et neutre pendant que Arwën lui avait parlé. Il semblait un peu en colère contre elle, la jeune elfe voulut le réconforter mais elle ne trouva aucun mot, aucune phrase pour le réconforter. Que les humains pouvaient être dure avec les elfes. Pourtant le coeur tendre de l'elfe était vide d'amour mais remplit d'une bonté infini. Pendant toute sa vie, Arwën n'aait fait que aider les uns les uns après les autres mais qui l'aiderait-elle elle ? Lorsque Valtor déposa un petit baiser sur sa joue, l'elfe plissa les yeux comme si elle souriait, mais se sourire s'effaça lorsque il lui dit le plus sincèrement possible, cette phrase eut un petit impacte dans le coeur de l'elfe.

« Je suis désolé, je n’aurai jamais du venir vous voir. Ceci à été comme une grande faute pour moi et vous ne pourrez que me blâmer pour ce point. »

Quand l'humain tourna les talons, Arwën eut soudain l'envie étrange de l'arreter, pourquoi ? Peut être parce qu'elle désirait encore lui parler, entendre ses histoires, le voir devant elle lui suffisait mais bon, Arwën désirait tellement qu'il reste là, auprès d'elle, même si il ne disait rien. Valtor se dirigeait d'un pa décidé vers la sortit, quant à l'elfe, elle resta plantée là, bouche bée, son visage aux traits légèrement tiré par la tristesse d'avoir crut qu'elle se ferait peut être un nouvel ami mais ses espoirs avaient été vint.

Ah ! Que la vie est dure ! Arwën, une elfe comme les autres, aux pouvoirs normaux et une femme douce, même si on lui attribué toutes les qualiters, elle ne les utiliserait que pour le bien, le mal était comme un ennemis pour elle mais que ferait-elle si elle le recontrerait ? Et puis qu'était le mal ? Un personne mangée par la haine et la soif de pouvoir ? Une ombre infini aux pouvoirs surnaturels ? Ou autre chose tellement indescriptible que sa en été effrayant ? La jeune elfe n'avait jamais vraiment combattu mais vu des combat, si.

Arwën tourna elle aussi les talons, d'un mouvement grâcieux de hanche elle se retrouva dos à l'humain qui partait. D'un démarche lente et légère, l'elfe marche vers l'autel puis s'agenouilla devant celui-ci. Ses mains fines comme des mains de musicien se joignirent en dessous de son menton et ses yeux humides de larmes venant du plus profond de son coeur se clorent. D'une voix faible comme un murmure innaudible, Arwën demanda au dieu qu'elle vénérait.

"...Mon Dieu...Je viens ici une nouvelle fois pour vous demander quelque chose qui peut être important pour moi..."

La jeune elfe rongée de tristesse et de désespoir soupira puis reprit la parole

"...Je viens ici tous les jours, j'aide tous ceux qui en ont besoins, j'essaye de réconforter les âmes en peine mais qui me réconfortera moi de la solitude ? Je n'ai aucun vrai ami, aucune personne sur qui compter...Est-ce que ses années de solitude et de 'servitude' n'auront servit à rien ? Devrais-je continuer longtemps de vivre comme cela ? Aie-je un avenir..."

Arwën finit sa prière ou plutot sa demande en baissant la voix au fure et mesure. Ses yeux auparavant clos se réouvrirent laissant apparaître ses yeux presque globuleux de larmes. D'un revers de main, elle se les essuya mais resta à genoux devant l'autel, sans bouger, attendant une réponse à ses questions.

Après s'être retourné une dernière fois, Valten sortit du temple. Elle n'avait tenté aucunement de le rattraper, elle ne lui avait aucun signe et ne l'avait pas empêcher de prendre la fuite. Il ne s'était donc pas tromper, bien qu'elle était belle tout ce qui l'interessait était de savoir ce qu'il avait en lui, pourquoi il était comme ça. Elle n'avait aucuns intérêts pour son présent et son futur, ne lui parlait pas de ses exploits guerriers. Elle ne voulait que combler et panser ses peines et Valten détestait la pitié et l'ampathie.

Il continuait à marcher en direction des Portes de Kerilin lorsqu'il fut prit, non pas de remords, mais de sympathie pour cette jeune elfe qui voulait simplement lui vneir en aide, comme il avat fait avec ses amis bléssés durant les batailles. Elle ne voulait que lui venir en aide ... ... ...

Il fit demi-tour d'un pas déterminé et lorsqu'il était sur le parvis du temple il entendit une voix triste et plaignate qui venait de l'autel. Il y jetta un coup d'oeil et vit la jeune elfe en train de prier. Il tendit l'oreille et écouta attentivement ses plaintes.

"...Je
viens ici tous les jours, j'aide tous ceux qui en ont besoins, j'essaye
de réconforter les âmes en peine mais qui me réconfortera moi de la
solitude ? Je n'ai aucun vrai ami, aucune personne sur qui
compter...Est-ce que ses années de solitude et de 'servitude' n'auront
servit à rien ? Devrais-je continuer longtemps de vivre comme cela ?
Aie-je un avenir..."

En fait le problème ne venait pas de lui mais il venait bel-et-bien d'Arwën. Elle ne savait pas où elle en était dans ce monde, elle cherchait sa place et la seule chose qu'elle put faire s'était trouver réconfort auprès d'une divinité qui ne lui donnerai jamais de réponse. Il marchalentement vers elle, qui resta agenouillé malgrès la fin de ses prières. Il entendit des sanglots et lorsqu'il fut à ses côtés, il la pris par les épaules et la mis en face de lui.

Il la souleva d'une force incroyable mais sans lui faire de mal, elle n'était ni un homme, ni un guerrier et encore moins un ennemi. Il la souleva comme il souleva sa fille quand elle était bébé. Une fois qu'Arwën était en face d-elle, son regard plongea dans son bleu azur et il lui dit doucement et sereinement.

" Vous avez un avenir princesse, et je pense qu'il est à mes côtés. "

Il lui essuya ses larmes d'une main ferme mais chaude et amicale. Puis continua :

" J'ai perdu ma feme et ma fille lorsque j'étais en guerre. Depuis la vie n'a plus aucun sens pour moi mais notre rencontre ne m'est pas indiférente et je ne mets pas cela sur le compte du destin ni de votre divinité. Je suis un ami sur lequel vous pourrez compté, je serai une épaule sur qui vous pourrez vous reposer et pleurer si besoin est, et je serai un coeur pour panser et remplir le votre... "

Lorsqu'il acheva ses mots il déposa un tendre et doux baisé sur les lèvres de la princesse_Pourtant dire que le baisé était doux est un euphmisme car sa barbe datait de plusieurs jours déjà_ Il regarda la princesse en ne savant ni comment elle allait réagir ni ce qu'elle allait faier. Mais Valten était heureux et il le serait car depuis fort longtemps il avait laissé parler son coeur à la place de ses mains.

Le silence avait emplit le temple, le vent passait à travers les pierres, faisant résonner les paroles de Arwën dans sa tête. Que le monde était vaste et sans pitier. La réponse mit du temps à venir, tellement de temps que ses minutes qui s'écoulées devenaient vraiment pesantes. Un bruit de pas discrèt se fit entendre. C'était Valten qui revenait vers elle. Avait-il comprit qu'elle ne voulait pas faire ressortir les souvenirs de son passé ? L'excusait-il ? Pourquoi était-il revenu ? Avait-il entendu sa prière ? La jeune elfe sentit les mains dure de Valten se poser sur ses épaules et la retourner pour être en face de lui. Grâce à sa force incroyable, il souleva Arwën sans qu'elle ne sente rien, aucun mal et aucune douleur, tel un enfant qu'il soulevait dans les air pour la faire rire. Quand ils furent en face, Arwën sentit son regard se confondre avec le sien. Il lui dit d'une voix sereine et douce :

" Vous avez un avenir princesse, et je pense qu'il est à mes côtés. "

Valten essuya les yeux de Arwën comme le ferait un père pour réconforter sa fille. Apparament, le jeune humain avait entendue sa prière, Arwën se sentait désormais un peu honteuse, elle ne voulait pas qu'il entende ses plaintes. Il continua.

" J'ai perdu ma femme et ma fille lorsque j'étais en guerre. Depuis la vie n'a plus aucun sens pour moi mais notre rencontre ne m'est pas indiférente et je ne mets pas cela sur le compte du destin ni de votre divinité. Je suis un ami sur lequel vous pourrez compté, je serai une épaule sur qui vous pourrez vous reposer et pleurer si besoin est, et je serai un coeur pour panser et remplir le votre... "

Arwën eut juste le temps de murmurer entre quelques sanglots interminable.

"...Merci..."

Il l'a comprenait. Enfin une personne qui la comprennait et qui désirait partager ses sentiments, ses pleures et ses angoisses avec elle. Qu'il était gentil, adorable et soucieux. Jamais elle n'aurait penser qu'un humain serait comme sa. Pendant que l'elfe fut plongée dans ses pensées, quelque chose de chaud et humide toucha ses lèvres légèrement tremblante, quelque chose de piquant lui gratta ses joues vermeilles. Quand elle eut enfin remarquer se qu'il se passer, se lèvres étaient collées à celles de Valten, que c'était-il passé ? Pourquoi l'avait-il fait ? Ses questions se bousculèrent dans la tête de Awën bien qu'elle savourait le baiser doux du jeune guerrier. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Arwën posa sa main droite sur ses lèvres d'un geste comme étonné. Son coeur battait tellement fort qu'elle en souffrait, tellement fort qu'il lui coupait le souffle. Son regard bleu infini se mélangea au regard de l'homme. Ses joues commençèrent à s'enflammer et à devenir rouge passion se qui contrasté avec la pâle couleur ivoir du teint de Arwën. Elle bégeilla timidement.

"...Euh...Hum...Sir Valten...enfin...C'est..."

D'un geste, Arwën passa une main dans ses longs cheveux blonds mais regardait toujours Valten en réfléchissant.

"...Je suis une elfe...Et vous un homme...Est-ce autorisé ? Enfin...nos races sont tellements différentes...nos sentiments sont-ils vraiment acceptable ? C'est..."

La jeune elfe finit sa phrase en mettant sa tête dans ses mains comme pour à nouveau pleurer. Pourquoi étaient-ils si différents l'uns de l'autres ? La vie de Arwën pouvait durer tellement longtemps alors que la vie de Valten non. Son coeur était comme serrer et désirait tellement sortir de la poitrine de Arwën, elle en souffrait mais en même temps en était heureuse.

Valten savait dans quoi il s'était embrigadé. Un humain
ne pouvait fréquenter une elfe et encore moins se marier. Ceci était contre les
loi de la nature. En effet les Elfes sont des être doué de l'immortalité : ils
ne craignent ni la mort ni les blessures. Ils ne peuvent donc pas mourir sauf
si la blessure est extrêmement grave ou lorsque l'elfe ressent une profonde
mélancolie.

Il s'est déjà vu dans l'histoire du monde des relations
entre elfes et humains. Mais les elfes sont fiers de leur peuple, et même trop
fier. C'est pourquoi souvent, le père de l'elfe demande un gage, une sorte de
bonne foi de l'humain. Celui-ci doit montrer sa force à gouverner ou bien
combattre. De nombreux hommes ont du accomplir des quêtes dangereuses ou bien
avoir un royaume. Cependant, il s'est vu aussi que les elfes puissent renoncer
à leur immortalité.

A leur mort les elfes doivent rejoindre les Terres
Immortelles où ils attendent pour se réincarner. Cependant les elfes qui
renonce à cette immortalité doivent assumer leur choix de mortel et ainsi
mourir avec les hommes, loin de leur peuple.

Valten savait tout cela et il ne pouvait pas obliger Arwën à
vivre cela. Elle était pour lui d'une énorme beauté, d'une énorme gentillesse
et il ne pouvait se conformer à ce dernier point. Si il voulait l'épouser il
devrait accomplir un acte important. Mais comment faire, lui qui avait déjà
tant accompli, il était dorénavant impossible de briguer une royaume, ou une
quête car aucuns évènements majeurs ne s'étaient produits depuis fort longtemps...
à part cette guerre entre les deux sœurs. Pourrait-il en profiter et prendre le
cœur d'Arwën? Il n'avait aucunes réponses à cette question pour le moment.

** nos sentiments sont-ils vraiment acceptable ? C'est... **

La tête d’Arwën était de nouveau entre ses mains. Elle ne
sanglotait pas mais elle ne pouvait pas le regarder. Qu’es ce qu’il se passait,
Valten n’en savait rien, car Valten n’avait jamais su décrypter le langage
corporelle. Les seuls signes qu’il comprenait c’était quand son adversaire
mourrait, mais au delà de cela…

Il lui relevait lentement la tête et la regarda de nouveau
dans ses beaux yeux bleus profond. Il ne savait que faire et que dire, le seule
mot qu’il trouva à dire c’était :

« C’est quoi princesse … »

Le coeur d'une femme est aussi précieux qu'une goutte d'eau. L'eau est pure et abondante dans certains endrois mais peut aussi être rare comme un diamant. Le coeur d'une femme bat pour un seul homme et est très fragile. Une petite fissure dans celui-ci peut causer la perte de la vie de la femme et faire couler de nombreuses larmes. Pourquoi fallait-il que la vie est faite plusieurs races toutes aussi différentes les unes que les autres ? Pourquoi ses races empêchaient-elles deux personnes de s'aimer ? La vie est dure...

Les nains donnent des nains, les humains des humains, les elfes des elfes mais d'où venaient les races battardes ? Les demis-elfes ne venaient-ils pas du vente d'une femme humaine ou elfe et d'un homme ? Il y avait beaucoups de sous races mais chacune d'elle est méprisée. Une femme devrait simplement pouvoir aimer un homme peut importe sa race et peut importe son titre. Toutes les races naissaient d'une femme et d'un homme, toutes les races se ressemblent sur un point, la volonté de protéger se qui leur est cher.

Arwën plongea son regard bleu marine dans le regard remplit de tendresse et d'amour passionné de Valten. Que devait-elle choisir entre l'amour ou sa patrie ? Devait-elle écouter son coeur ou le petit quelque chose qui la retenait de lui sauter dans les bras ? Son coeur battait si fort en se moment qu'elle en souffrait mais moin que le choix qui se présenter devant ses yeux.

D'un geste de main, elle passa ses cheveux blonds derrière ses oreilles. Son regard se posa ensuite sur le sol et a nouveau dans le regard de Valten. L'aimait-il vraiment ? Traverserait-il les océans pour lui prouver son amour ? Braverait-il mille dangers pour la retrouver ? L'esprit de Arwën était brouillé par une vague de pensées diverses. Ses lèvres tremblaient un peu et elle décida enfin de répondre.

"...C'est irréelle...Pourrais-tu vivre toi en restant éloigner de ta patrie ? De ton peuple ? Le mien ne m'acceptera plus si je choisis la voix qui me semblerait la meilleur. Je...Je ne sais plus...Je ne sais pas...Que choisirais-je entre la vie et la vie plus différente que j'ai déjà ? Je...Enfin...Je ne sais pas...Devrais-je écouter mon coeur ? Mais si je le faisais que nous arriverait-il ?..."

Arwën posa une de ses mains sur son coeur et l'autre se posa sur celui de Valten.

"...Même si tes sentiments envers moi son fort, crois-tu pouvoir amener une vie bien meilleur ? Crois-tu que je suis l'élue de ton coeur ? Je ne puis savoir quoi faire...Je serais de ton avis...Je ne peux prendre une telle décision..."

Le regard bleu de Arwën ne cilla pas.

Valten savait à quoi il s’exposait en ayant des sentiments pour Arwën car il représentait la guerre et elle la paix. Elle était une elfe et lui un humain. Mais pourtant il savait faire la différence entre les deux : le cœur d’une bataille, rouge sanglant et noir meurtrier, et le cœur d’une femme bleu tendre et vert passion. Il ne voulait pas lui faire de mal et sûrement pas lui briser le cœur.

Les races l’étaient pas un soucis pour Valten. Il ne s’intéressait pas si son ennemi qu’il était en train de poignardé était un elfe ou un nain ou même un humain. Les morts ne comptaient pas plus que les vivants. Il était amère et la vie le rendait brute. Il ne pensait pas que les races étaient une source de conflits. La véritable source de conflits résidait dans le fait que le peuple de chaque race voulait avoir l’ascendant sur le peuple d’une autre race et parfois il se produisait encore plus terrible : le peuple d’une race voulait l’ascendant sur une autre partie de son propre peuple. Le pouvoir est dévastateur.

Il n’aimais pas faire des choix et encore moins choisir entre la guerre et l’amour. Car il savait comment cela allait se passer, si elle abandonné tout pour elle il devrait sûrement tout abandonné pour elle. Et il n'accepterait en aucun cas d'abandonner une guerre si il y a. L'honneur de l'Empire est en jeu. Et même si il se rangerai où on lui demanderai, lui et ses troupes combaterraient jusqu'à la dernière goutte d'émoglobine qui leur reste encore en possession

« Devrais-je écouter mon cœur »

Lui dit-elle tranquillement. Elle essayait de faire passer son angoisse mais sans aucun réel succès : ses lèvres tremblaient et ses yeux étaient humides de sanglots. Ses mots étaient brouillés et ses pensées aussi. Comment faire ? Il pensait à son cheval et décida de lui faire faire une ballade à cheval. Mais il ne put lui proposer cette idée. Pourtant en fermant les yeux une demi seconde il se vit lui proposer cette requête puis chevauché son cheval noir ébène en direction des grandes plaines.

Mais il ne put rien faire. Il était bloqué devant elle et aucuns sons, ni mots ne sortaient de sa bouche. Aucuns gestes n'accommpagnaient se pesant silence. Comment avait-il put tomber amoureux de cette princesse. Elle était une elfe et elle vivrait surêment trop longtemps pour lui qui n'était qu'un simple mortel. Et si il écoutait son coeur à lui, qui lui disait de l'embrasser de novueau, de s'enfuir avec elle, loin de là, loin de tous ces soucis, de fonder une famille, élever du bétaille, et cultiver un potager.

Non cela était impossible, ce n'était pas Valten que l'on pouvait apercevoir en train de cueillir ses salades, c'était un autre homme. Car Valten était un guerrier sanguinaire, il est né pour combattre et mourra au combat, sa propre épée planté dans son coeur déchiré à jamais. Il devait prendre une décision mais ne savait qe faire, ne savait que dire.

Il regarda la princesse une dernière fois, il savait que se serait surêment la dernière. Son regard, bien que d'un noir profond, était perdu et donné à Arwën toute la crainte et la peur d'une décision trop attive.

Arwën regarda silencieusement Valten qui ne répondait pas. Ce silence était pesant, lourd et interminable. L'elfe désirait tellement avoir une réponse de ses questions trop nombreuses pour être dites. La jeune femme sécha ses larmes et détourna son regard de celui de Valten. Pourquoi l'amour était-il si dure et a la fois si faible ? Pourquoi Valten ne lui répondait pas ? Argh que se silence pouvait être long, l'elfe posa une main sur la joue piquante de Valten tout en lui affichant un sourire triste. Elle lui dit d'une voix douce et claire comme de l'eau de roche.

"...Je ne peux vivre sa, et vous non plus ! Je sens en vous le désir de combattre et en moi le désir de faire la paix. Je ne peux non plus ne pas écouter mon coeur qui me dis de vous choisir mais vous me semblez trop...enfin vous être trop assoiffé de sang...Je ne peux vivre une vie de misère, une ve où tous le monde nous haie et où mon époux devrait tuer pour le plaisir..."

Arwën se redressa doucement et passa ses mains autours de Valten et le serra contre elle. Son menton se posa sur son épaule, elle écouta les nombreux bruits de la nature, espérant avoir une idée, un petit quelque chose qui les aiderait, pour leur sentiments. La jeune elfe ne voulait pas faire partir Valten, c'était comme un petite parie de sa vie et quelque chose au fond d'elle, un esprit peut être rebelle et sauvage, ce quelque chose voulait Valten avec elle.

"...Valten...Désirez-vous être avec moi ? M'aimez-vous ? Jusqu'où irez-vous pour moi ?"

Un autre silence se fit entendre, Arwën attendit la réponse de Valten en lui passant sa main dans ses cheveux. Après quelques minutes de patience et de silence, Arwën décida de prendre le poignet de Valten et lui annonça :

"...Vous ne pouvez peut être pas me répondre, soit ! Mais je désir vous emmener dans mon endrois préféré qui me change les pensées lorsque mon esprit est brouillé...Je ne vous demande pas de me répondre si vous ne le souhaitez pas..."

La jeune elfe emmena l'humain, à pied, jusqu'a l'endrois où elle se sentait le mieu, un endrois fait par Mère Nature, un endrois qui aiderait peut être Valten a réfléchir. L'endrois était en faite une petite colline verdoyante et couverte de fleurs toutes ausi différentes et belles les unes que les autres. De là, on pouvait admirer la grandeur de la ville ainsi que le magnifique ciel bleu marin qui se confondait à la coulur des pupilles des yeux de Arwën.

L'elfe emmena alors le prétendant à son coeur sur la colline aux luciolles, c'est comme sa que Arwën l'avait appelait car le soir, de petites luciolles apparaissent et font rappeller les meilleurs souvenirs passé de la vie de la personne qui se trouve sur celle là. Arwën lacha le poignet de Valten et marcha dans l'herbe haute, tendant ses bras de coté pour laisser ses mains froller l'herbe et lever la tête vers le ciel les yeux fermer.

" [...]où mon époux devrait tuer pour le plaisir"

Il ne s'était donc pas fait d'illusion ni sur elle et ni sur le monde. Il n'était perçu que comme une bête sanguinaire et violente. Mais il s'en foutait. Il était né et entrainé pour combattre, défendre et survivre et il le fesait à merveille. Il avait été le meilleur de sa promotion, avait gradué les echelons plus vite que personne. Et il était un artiste, un artiste de la guerre, non pas au niveau de la gestio guerrière mais au niveau du commandement de ces hommes, hommes qu'il avait entrainé personnellement et qui fesait d'eux une troupe d'élite.

Il la regarda dans les yeux. Valten était tel un aigle tout se jouant sur les regards et la perception était différente à chaque fois. Cette fois ci, il savait qu'elle était perturbé par se coté sanguinaire mais qui l'attirait telment. Elle ne savait comment réagir face à ce flow de violence et surtout face à un être incontralable. Bien sur qu'il ferai des efforts pour sa dame, mais si son Roi, si sa Reine ou un autre employeur avait besoin de lui il ne reculerai devant rien.

" Je suis tout pour vous et je serez tout pour vous. Je veux être à vos côtés. Mais vous devez savoir que notre relation s'annonce difficile et tumultueuse. Une guerre se prépare en vos terres et je vais surement y aprticiper. de quel côté je ne sais pas encore. Je n'est eu ni nouvelle de ma reine, ni d'aucun chef de clan en présence. Je suis pourtant ouvert à toute proposition."

" M'aimez-vous ? Jusqu'où irez-vous pour moi ?"

Il la regarda une nouvelle fois dans les yeux. Mais ses yeux se baissèrent devant cette question dont il n'avait aucune réponse. Bien sur qu'il l'aimait, mais il n'osait pas lui dire, il irait au bout du monde pour elle mais il n'osait pas lui dire. Elle n'attendiat surement pas de réponse car sa main attrapa Valten avec énormément de douceur mais aussi de fermeté comme pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas le choix.

Ils se retrouvèrent dans un petit jardin , qu'ele surnomma le jardin des luciolles. Il l'a fit plus radieuse que jamais. elle était comme épanouie dans un lieu si beau et magnifique. Loin de tout soucis, Valten arriva presque à en oublier la guerre. Mais la voir si joyeuse ne put l'empecher de penser à un amour quasi impossible. Mais il avait l'ame joyeuse et il se tapit dans les hautes herbes tel un felin.

Alors qu'elle continuait d'effleurer l'herbe avec la paume de sa main, il lui bondit dessus et roulèrent tout les deux par terre. Après un chahut monstre, Valten se retrouva à califourchon sur sa princesse le regard perdu dans le sien. Le sourire essouflé de la princesse lui donnit des ailes.

Il l'embrassa l'angoureusement et lui dit finalement.

" Je t'aime "

Le calme, le silence et la nature étaient vraiment agéable. Les oiseaux chantaient une jolie mélodie faisant penser au printemps. Le vent faible tournoyait dans les air. Il faisait bouger les hautes herbes ainsi que les feuilles des arbres feuilluts. La paisibilité de cet endrois rendait Arwën encore plus...angélique...Une légère brûme ressemblant à une aura s'échappait de son corps. Sa chevelure blonde brillait comme si la lune l'éclairait de sa pâle lueur argentée. Les nuages blancs passaient et repassaient dans le ciel bleu. Il ne faisait ni trop chaud, ni trop froid, juste bon pour être alèse.

Arwën marchait doucement, le regard réveur, l'esprit libéré de toutes pensées ainsi que le coeur légé. Le vent caressait sa peau douce et faisait flotter sa longue chevelure blonde. L'elfe était vraiment heureuse. Heureuse de se retrouver dans cet endrois même si une guerre allait se préparer, heureuse d'être aux cotés de Valten, heureuse de se sentir libre. La sensation de faire corps avec la nature la rendait plus forte que jamais, autant spirituellement que physiquement.

Tel un félin aux pattes de velours, Valten se faufilla à travers les hautes herbes en suivant Arwën comme s'il poursuivait une proix. Arwën, ne se doutant pas de se qui allait se passer, marchait paisiblement à l'écoute de la nature. La jeune elfe sursauta lorsque l'humain lui sauta dessus, ils tombèrent à terre et roulèrent à n'en plus finir brisant le calme que leur offrait Mère Nature en faisant un chahu monstre.

A la fin de leurs tours, les deux jeunes gens s'arretèrent, Valten était à califourchon sur Arwën qui se sentait légèrement écraser sous le poids de Valten et de son regard. Leur regard se confondèrent, la guerre contre la paix, le Yin contre le Yang, le blanc contre le noir. Le vent s'était arreter de souffler rendant ce moment silencieux, comme si les cieux désirer les voir. Arwën, le souffle coupé, le coeur battant de plus en plus vite, regardait naïvement Valten avec un sourire éssoufflé aux lèvres. Celui-ci s'approcha lentement de son visage et s'emparra de ses lèvres une nouvelle fois, mellant au baiser sa langue qui se mellait à celle de Arwën. Jamais, non jamais elle n'aurait penser que sa se finirait comme sa. A la fin du baiser, Valten annonça à sa tendre Dulciné qu'il l'aimait.

L'elfe resta là, sans rien dire, juste le regard qui se posait sur le visage du guerrier. Que devait-elle dire ? Que devait-elle penser ? Etait-ce accepté par les cieu que deux personnes complètement différentes s'aime ? Pour l'instant, il n'y avait aucun problème. Arwën rougit tel une rose éclatante après se baiser fougueux. Elle ne quittait pas Valten du regard et dit timidement.

"...Mes sentiments sont réciproque..."

Après un long et doux baiser langoureux, Valten la regarda dans les yeux. Il s'enleva de dessus d'elle car la presison du guerrier commençait à essoufler sa gente dame.

" Mes sentiments sont réciproques "

Il sourit. Il ne semblait pas avoir deviné qu'il l'aimait mais cela alalit devenir compliquer. Car le peuple Elfe n'accepte pas les humains et encore moins les guerriers. De plus la guerre se précisant, il allait surement pdevoir prendre partie pour une côté mais il ne savait lequel. De plus il n'avait reçu aucun message de sa Reine et cela l'inquiétait.

" Vous devez savoir que cela va être compliqué ... "

Valten pesait subitement à un amour caché, une sorte d'amour impossible mais que seul les deux protagonistes entendent mener à bien. Cela lui rapellait aussi le fait que sa Seconde Légion était posté en arrière garde de Kerilin et qu'ele attendait ses ordreS. Ils se relevèrent tous les deux et mains dans la mains Valten lui parla sérieusement et plus sérieusement que jamais car ce qu'elle allait lui rpéondre allait changer le cours des choses.

" Amour, la guerre est inévitable et le fait que j'y participe aussi. J'attends le messager de ma reine pour connaitre mes ordres de missions et je ne peux rien donc faire pour l'instant. ceci pourquoi je vous demande ce que vous voulez faire de Nous?

Le noir de ces yeux ce mélangea au bleu azur des siens. Une raphale de vent ébourrifa les longs cheveux de la princesse qui fut toute confuse et qui rigola de cette situation. Mais Valten n'avait pas l'ame à rire.

" Je suis sérieux ... comment voyez vous votre vie? A côté d'un époux guerrier ou bien à côté d'un époux seigneur?! "

En effet, Valten était propriétaire de la Grande principauté du Reikland et avait confié la régence à son grand ami Valmir, mais si Arwën voulait un époux seigneur, elle n'avait cas le dire. Cependant son âme de guerrier de disparaisserait point et il délèguerai la guerre à ses troupes.

Arwën et Vlaten se relevèrent de leur position délicate. Il lui souria, la jeune elfe au regard d'ange lui répondit tout de suite d'un sourire tendre. Valten semblait un peu inquiet pour leur future. Il est vrai que les guerres se préparaient et ils seraient surment dans des camps adverses, pire, Arwëné était une elfe et Valten un humain. Valten lui avoua que cela allait être compliqué, son regard était vraiment sérieux mais gardait tous son charme.

" Amour, la guerre est inévitable et le fait que j'y participe aussi. J'attends le messager de ma reine pour connaitre mes ordres de missions et je ne peux rien donc faire pour l'instant. ceci pourquoi je vous demande ce que vous voulez faire de Nous?

Arwën le regarda, ébétée, ne sachant quoi répondre. Que voulait-elle faire de leur relation ? Eh bien, juste vivre en amoureux, au calme. Peut être serait-il d'accord d'emménager loin des cités pour être plus au calme ? Peut être vivraient ils toujours éloigner ? Peut être et peut être encore ! Il ajouta qu'il voulait savoir si elle voulait être avec un époux guerrier ou un époux seigneur. La jeune elfe passa une main douce sur sa joue et la caressa d'un geste tendre. Soudain, une rafalle de vent ébourrifa les cheveux blonds or de Arwën, lui laissant une tête de hérrisson. Le couple explosa de rire pendant que Arwën arrengea ses cheveux. Elle posa a nouveau sa main sur sa joue, affichant un sourire réconfortant.

"...Valten. Je ne peux vivre loin de toi. Je t'offre alors ma vie. J'abandonne cette vie interminable et infini. Je t'offre mon coeur en échange, je deviens une humaine apparentière, je ne serais plus immortelle. Pour la guerre, je te laisserais y aller de toute façon je ne peux t'empécher. Quand à l'époux que je désir, je vais te le prouver tout de suite qui je désir entre l'homme guerrier et l'homme seigneur..."

Arwën se dressa sur la pointe de pieds, déponsant un baiser sur les lèvres du guerrier au coeur plein d'amour. Quand elle sépara ses lèvres des siennes, la jeune elfe esquissa un sourire tendre. Ensuite, Arwën déposa sa tête dans le creux du coup de son amant et se blotti contre le lui. Une petite voix ressemblant à un murmure s'échappa de la bouche de l'elfe en lui susurant.

"...Ne me laisse pas seule...C'est tout se que je demande...La solitude fait tellement mal...L'amour tellement de bien...Aime moi comme le ferait un époux, un mari dévoué...Valten, c'est tout se que je demande..."

"...Valten. Je ne peux vivre loin de toi. Je t'offre alors ma vie. J'abandonne cette vie interminable et infini. Je t'offre mon coeur en échange, je deviens une humaine apparentière, je ne serais plus immortelle. Pour la guerre, je te laisserais y aller de toute façon je ne peux t'empécher. Quand à l'époux que je désir, je vais te le prouver tout de suite qui je désir entre l'homme guerrier et l'homme seigneur..."

Valten ne pouvait espérer mieux comme réponse. Elle venait de lui offrir son amour éternel. Mais elle venait de lui dire qu'elle allait renoncer à l'immortalité et il ne pouvait se résoudre à cel. L'immortalité est une chose importante et il ne voulait as qu'elle y renonce. Il ne pouvait s'y résoudre. Il ne voulait pas qu'elle brise sa vie pour lui. Cela étant dit , il vivrait à ses côts jusqu'aux limites de sa mortalité.

" Je ne veux pas que tu deviennes une humaine, je ne veux pas que tu quittes et laisses le monde Elfe pour moi. Je veux t'aimer et passer ma vie à tes côtés mes je te veux comme elfe et comme rien d'autres. "

Elle vint se blottir dans ses bras et il accepta son calin avec grande joie. Il sentit quelques gouttes de joie tombé sur son torse. Il lui caressa ses longs cheveux blonds. Il la serra fort contre lui.

" Je..."

Mais il n'avait pas eu le temps de prononcer ses mots qu'elle fit une phrase qui laissa Valten sans voix.

" Ne me laisse pas seule "

"Je ne te laiserai pas seule princesse, jamais je ne vous abandonnerai mais je ne veux pas que vous abanonniez votre peuple pour moi. Je veux vivre à vos côtés pour la vie et ça avec la bons et les mauvais moments. "

Il la prit par le coup d'une rare force mais sans violence ni brutalité. Il l'embrassit langouereseument et tendrement sentant la chaleur de sa langue jouer avec la sienne. Puis il se blottit contre elle. Il versa quelques larmes de joie à son tour, mais il fit tout pour ne pas les faire voir car Valten n'était pas un faible.

Arwën plongea son regard bleu dans celui de son amour. Il venait de l'embrasser avec une telle tendresse que sa en était étonnant de sa part. Elle sentit ses larmes de joies monter de son coeur vers ses yeux. Elle vit aussi que Valten retenait ses larmes mais n'arriva pas. Arwën avança sa main vers son visage et essuya doucement ses yeux. Quelle chaleur que l'amour ! Une chaleur envahissant tous le corps, le rendant docile et libre. Cette chaleur réchauffait aussi le coeur et l'esprit. Celui de la jeune elfe était emplit de tellement de solitude qu'elle avait envie pour une fois, de pleurer toutes les larmes de son corps qu'elle n'avait pas encore laisser sortir.

Les phrases de Valten réjouirent Arwën. Sa voix était appaisante. Comme un père réconfortant ses enfants sauf que là, c'était l'amour qui réconfortait la blessée. Cet amour les unissait par le coeur et l'esprit bien qu'ils n'étaient ni mariés ni fiancés, rien n'était encore fixé. Mais si Arwën venait à perdre Valten, elle savait qu'elle n'en survivrait surment pas.

" Je ne veux pas que tu deviennes une humaine, je ne veux pas que tu quittes et laisses le monde Elfe pour moi. Je veux t'aimer et passer ma vie à tes côtés mes je te veux comme elfe et comme rien d'autres.....Je ne te laiserai pas seule princesse, jamais je ne vous abandonnerai mais je ne veux pas que vous abanonniez votre peuple pour moi. Je veux vivre à vos côtés pour la vie et ça avec la bons et les mauvais moments. "

Ces mots là, juste ses mots là, réconfortèrent le coeur de l'elfe qui semblait à jamais perdue dans un tas de souvenirs et de souffrances. Arwën ne se serait pas géné de lui offrir sa vie si il l'aurait accepté, elle l'aimait tellement qu'elle pourrait se sacrifier pour lui. En ce moment même, la jeune elfe passait sa main dans les cheveux de Valten tout en plongeant son regard dans le sien et en étant silencieuse. En se séchant ses larmes d'un revers de main, elle prit la main de Valten et la serra.

"...J'espère que nous pourrons vivre heureux le plus longtemps possible..."

L'elfe porta sa main a son visage et posa sa joue dessus. Elle caressa sa joue avec la main de son amant. Arwën affichait un sourire radieux, un sourire qui n'était pas apparut sur son visage depuis mintes années. L'elfe se sentait plus seule, son coeur était prit par l'homme de sa vie qui n'hésiterais surment pas à sacrifier sa vie pour elle. Vivraient-ils heureux ? Vivraient-ils ensemble longtemps ? Que l'avenir leur réservait-il ? Arwën n'en savait rien, mais elle savait qu'ils en profiteraient un maximum [pas de double sens] restant ensemble, se balladant main dans la main, fondant peut être une famille qui sait ? L'avenir réservait bien des surprises mais...Après tout...Personne ne peut savoir son avenir à l'avance...Heureusement...

Galen Stanin remuait ciel et terre pour retrouver son idole, Le Tzar Rouge. Il n'était plus à l'auberge indiqué par la Reine depuis de nombreuses heures. Galen se retrouva face à un tavernier peu compréhensif. Il du renoncer à obtenir le moindre indice venant du commerçant. Suivant les témoignages des citadins, il fini par sortir de la ville. Ou pouvait bien être parti Valten Von Raukov? Chevauchant une demi journée supplémentaire, il tomba sur un fermier qui l'avait vu. Le capitaine avait acquit une tel notoriété, que même les personnes les moins informées le reconnaissaient à son marteau légendaire. Galen ne mit pas longtemps à atteindre la frontière.

*Il est parti en terres d'Estel? Mais pourquoi?*

Il prit la direction de la capitale Elfe et arriva sans encombre. Les habitants n'eurent pas de mal à guider le jeune solda, la présence des rares humains dans leur cité était facilement repérable. Malgré l'urgence de la mission, Galen ne pue s'empêcher de s'arrêter à plusieurs reprise pour admirer les fresques et sculptures du temple ou il venait d'entrer. Un bruit de conversation. Galen tomba sur un couple, il décida de partir quand il reconnu le Tzar rouge.

*Avec une Elfe?* Pensa Galen plus curieux que surprit.

Bref, il n'était plus temps de réfléchir, il devait effectuer sa mission. Il s'approcha sans se dissimuler et toussa pour indiquer sa présence. Il se mit au garde-à-vous en tendant la petite pochette en cuir contenant la lettre de la Reine.

"Je suis à vos ordres Capitaine!"

[Galen est ton pnj maintenant, je te donne plus de détail par mp.]

Arwën donnait à Valten l'un des plus beaux et doux spectacle: celui de l'amour. En effet, suite à sa déclaration, le visage d'Arwën devint radieux. Son sourire, son regard, ses expressions, en fait son visage tout simplement devint magnifique. Il s'illumina comme lorsque l'on venait de sacré un homme chevalier.

Elle lui sauta au cou et la serra aussi fort qu'elle pouvait. Valten sourit devant ses petite fille à qui l'on venait de rendre son prince charmant. Il l'avait rendu heureuse et il l'avait fait sourire. Il avait illuminé sa vie et ELLE le lui avait bien rendue. Tous ces signes ne mentaient pas : elle était amoureuse, elle vivait quelque chose de fort et elle lui fesait partagé tout ceci.

Valten était aux anges mais la question qu'elle lui posait lui fit des frissons dans le dos.

" ...J'espère que nous pourrons vivre heureux le plus longtemps possible...

Ce n'était pas tant sa question qui lui fesait peur mais elle se projettait déjà dans l'avenir et c'était ce même avenir que Valten appréhendais. Surtout avec la guerre venait, Valten espérait revenir à ses côtés au plus vite. Bien sur il était un valheureux guerrier et seigneur de guerre, mais il n'était cependant pas à l'abris d'une mort qui rodait autour de lui. Au moment même où il allait l'étreindre à son tour, un soldat interrompit leur conversation.

" Je suis à vos ordres Capitaine!

C'était un jeune soldat. Ses yeux était brillant et son sourire aux aguets. On pouvait sentir une certaine fierté quand celui-ci se mit au garde-à-vous devant ce grand seigneur et quand il lui remit une petit pochette de cuir.

" Repos Soldat! "

Valten prit la petite saccoche et l'ouvrit avec minutie. Mais Il s'arréta en chemin et regarda Arwën. Il pensa alors à tout ce qu'il venait de se passer et il ne savait pas quoi faire. Il avait attendu les ordres de sa Reine depuis telement longtemps et maintenant qu'il venait de découvrir l'amour, il ne savait plus quoi faire. Il se retourna alors vers Arwën pour qu'elle l'aide mais on pouvait remarqué qu'il avait de nouveau retrouvé son regard triste...