Le diner ... une conversation ... une décision...

[ ==> Portes de Karak-Kadrin ]

Thorgrim semblait avoir perturbé la princesse avec l'énonciation qu'il venait de formuler. Il était vrai qu'il lui avait donné beaucoup de noms que seul les souverains connaissaient pour les avoir cotoyés. Il se souvenait cependant de la jeune princesse au milieu des humains, des Elfes et des nains dans les différents lieux de rencontres où se tenait multiples réunions du temps ou son père était parmi eux et surtout du temps ou régnait encore la paix entre ces trois races.

Car Thorgrim n'était pas fou, bien que Le monde se fesait des gentilles, personnes ne s'appréciat vraiment. Seul Le père des deux jumelles, Karl Franz, l'Empereur Humain, et lui-même étaient de vrai amis. Pour ce qui était de la population, personne n'aimait personne et tout le monde répugnait tout le monde. La vie était ainsi faite.

En voyant la princesse marcher à ses côtés en direction de la salle des banquets, il eut l'impression de revoir cette petite fille innocente et douce que son père bordait les soirs de réunions. Il se souvint même de la beautée de la berceuse qu'il lui chantait afi qu'elle s'endorme paisiblement.

Citation :

« Dors, dors, dors mon enfant, je suis près de toi.
Repose en paix mon enfant, ta maman est là.

Sèche tes larmes mon enfant, fais comme ta maman
Sois comme ta maman, enfant, et elle t’aimera

Pas de panique mon enfant, je t’aime tendrement
Aime-moi ma fille, aime ta maman

Dors, dors, dors mon enfant, je suis près de toi.
Repose en paix mon enfant, ta maman est là. »

Une fois dans la salle des banquets, Thorgrim s'arréta un moment et se souvint des grands célébrations passée ici. Il se souvint des moment où un aboyeur annoncait les nom à l’assemblée réunie dans la salle des banquets et fesait les présentations à la cour avec un titre digne des honneurs dus à votre rang.
Les festivités pouvaient ainsi débuter avec moultes ripailles, viandes, gibiers et doux breuvages qui les rendaient joyeux puis ils assistaient au récital des troubadours et ménestrels, participaient au bal médiéval où des pages apprenaient au moins débrouillards les pas de danse indispensables a la bonne tenue des festivités. Moultes attractions et divertissements agrémentaient le banquet et la joie des convives était à son comble.

lIs prirent place tous deux au milieu de la table centrale du banquet. Il fit venir un serviteur et lui chuchota quelques mots à l'oreille.

" Va chercher Asgaard et ramène les gardes de la princesse. Ils sont à la taverne de nore ami Josef Bugman. Tu n'auras qu'a le convier lui aussi. Puis trouve leur des convives à leur goût et fait en sorte qu'ils passent une bonne soirée. "

Il se retourna vers la princesse et se rappelat ses mots lors de leur petite marche.

Elle prend beaucoup trop d'ampleur Thorgrim! Les évenements vont s'enchainé et aucuns de nos espions pourras nous informer de ce qu'il se passe. On ne peux estimer la puissance de Nina, comme on ne peut estimer la mienne, le jour où le rideau se levera, on ne pourra rien faire si note nombre est faible, plus rien. Cela va être un coup de théatre dans toute l'histoire des elfes... Je ne peux pas me permettre de perdre... Elle a toujours eut les félicitations, elle ne l'aura pas cette fois!

" En effet princesse, la guerre prends de l'empleur mais n'ayez crainte vous surpasserez votre soeur et vous aurez toute la gloire cette fois-ci. Les troupes humaines sont belles et bien présentes. On m'a compté l'histoire d'un guerrier qui n'appartient à personne mais qui est un véritable chef de guerre. Voulez-vous le compter dans vos rangs avant que votre soeur ne le compte parmi elle? "

Thorgrim ne connaissait pas réelement cet homme mais son histoire et ses batailles fesaient le tour des contrées et étaient devenues de véritables histoires populaire.

Il lui tendit la main et lui dit sur un ton serein : " Vous pourrez compter sur moi, Princesse. "

[Très beau post princesse]

Thogrim était en train de discuter avec la princesse elfe au moment où intervenir deux humains. Il connaissait bien l'un des guerriers. Il s'agissait de Valten Von Raukov, un grand guerrier au service de la Reine des terres d'Endor. Il le conaissait pour ses exploits mais aussi pour ses frasques mentales. De plus il avait eu la chance de le rencontrer en diverses reprises que se soit en terre humaine, elfe ou même naine. Cependant il ne connaissait pas son second.

Valten fut assis aux côtés du Roi, ainsi que son second. Valten prit la parole tel un seigneur en visite.

" Mon cher Roi, je vous remercie grandement de me recevoir en vos nobles lieux. J'ai une importante novuelle à vous formuler. "

" Cher Valten, c'est un plaisir de vous recevoir, ainsi que votre second, ici, chez moi. Vous savez aussi bien que moi que vous êtes et serez toujours le bienvenue. "

En effet, l'hospitalité naine était enviée de tous. Les terres naines étaient en quelque sorte un refuge pour äme perdue et Thorgrim se souvint la période où il avait recueillie le guerrier. Mais il fut surpris par la façon de Valten de s'adresser à la prétendante au trône Elfe.

" Où en sommes nous princesse, vous savez bien que j'ai soif de guerre et de sang " Thorgrim avait horreur l'impolitesse des guerriers.

" Sir Valten ne deviez-vous pas nous apportez une nouvelle importante?! " Il s'adressa à lui sur un ton qui fit comprendre à toute l'assemblée que Thorgrim, Haut Roi des Nains, était contrarié.

Mais une autre chose préoccupa Thorgrim. Il venait de sentir une présence, derrière lui, qui était apparue sans s'être annoncée, une personne jeune et elfique. Il ne vit qu'une ombre se tapir dans un coin. Il n'y fit guère attention et attendrait le bon moment pour la présenter.

[En effet très très beau sujet]

après s'être fait présenter à l'assistance et au Haut Roi des nains, Valten commença à manger. Il n'avait pas mangé depuis fort longtemps et il accepta le repasn qui lui était présenté comme un véritable festin, un genre de dernier repas. Mais Valten fut surpris par la réaction de Thorgrim quand à la question , certes un peu osée, qu'il avait posé à Leili. Il avait sans doute outre passé le fait qu'elle était la prétendante au trône et princesse des elfes.

" Sir Valten ne deviez-vous pas nous apportez une nouvelle importante?! ". Le ton n'était pas agréssif mais Valten comprit assez vite qu'il avait été déplacé envers la princesse. Il lui demanda donc pardon d'un simple regard, qu'elle acquiesa sans problème.

Valten repensa à la nouvelle. Il demandit la petite acoche de cuir à son second. Puis il sortit le decrêt qu'il commença à lire de vive voix:

Haute Reine de la Terre d'Endor a écrit:

Par la présente, moi, Arthuria Pendragon, Reine des Humains, Décide que tous mon peuple doit retourner en terres d'Endor sur le champ. Si vous ne pouvez pas le faire par vos propres moyens, alors contactez le Capitaine Valten Von Raukov. Il a pour mission de vous aider si le besoin s'en fait sentir.

Arthuria Pendragon

A la fin de sa lecture, Valten regarda Thorgrim qui semblait surpris. Il avait donc lui aussi remarqué cette présence inconnue. Puis il regarda la princesse qui avait l'air de se répeter les mots que venait de dire Valten et son decrêt. Valten avait ainsi profité de la présence de la princesse pour lire le decrèt aux deux personnalités les plus importantes de la Terre. Il n'aurait pas besoin de retourner en terre Elfe, outre le fait de revoir son amante bien sur.

" Je sais bien que pour l'istant aucuns humains n'est à compté parmi les terres du Beors, mais je vous en serez gré de me prévenir en cas de cela "

Il reprit son festin en attendant toutes réactions de la part des deux parties en présence. Mais lorsqu'il croqua sauvagement dans sa cuisse de poulet, une odeur lui était familière. Ce n'était ni le poulet, ni la sauce ni aucuns des plats en fait. L'odeur était celle d'un parfum féminin, qu'il connaissait pour l'avoir respirer sans fin les jours précédents son arrivée en terre du Beors.

Il se leva de table et alla chercher la personne, tout en douceur, qui s'était tapie dans l'ombre. Puis fit une annonce toutr en enlevant la capuche de cet invité.

" Mesdames, Messieurs, je vous présente Arwën Leyhola, fille du peuple de Kerilin "

Valten prit soin de conduire doucement et amoureusement sa bien-aimée en direction d'où était assis son second.

" Lève toi et laisse place ! "

Son second se leva sans aucunes sortes de remarques. Valten lui fit un hochement de tête pour lui faire remarquer qu'il était fier de lui.

" Maintenant que tout le monde est présent, je vous serez gré de bien vouloir commencé à manger car j'ai faim. "

Valten rigola car il avait déjà commencé à manger.

Arwën sentit son coeur revivre. Son regard ne quittait pas la silhouette de Valten, comme si elle avait peur qu'il ne parte de la table. Elle devait être la seule de la table qui ne mangait pas. Après tout, Arwën était plus végétarienne que Valten ou le nain. La jeune elfe ne pouvait s'empécher de penser au pauvre animale qu'elle mangerait si elle mangait de la viande. En faite, Arwën n'avait pas faim. Son estomac était vide mais elle était juste un peu fatiguée.

Sur le visage rayonnant de Arwën, un sourire se dessiné. Elle écoutait silencieusement leurs conversations. L'elfe se demandait se qu'elle faisait ici après tout, ce n'était qu'une elfe, elle n'était ni guerrière, ni princesse. C'était comme une tache dans un paysage paisible. Arwën était assise, le dos droit, le menton légèrement baissé, ses cheveux calés par ses oreilles de petites tailles pour une elfe. Ses main étaient posées sur ses cuisses, ses yeux glissaient sur les différentes personnes à table.

Pendant cette fête, Valten ne regarda pas Arwën. Elle se doutait qu'il ne voulait peut être pas attirer l'attention sur leur couple. Son regard évité ceux que sa tendre et douce bien aimé lui envoyé. Valten lui avait juste sourit une fois. Malgré cette ambiance de fête, Valten prit la parole pour rentrer dans le vive du sujet.

" Ne nous sommes-t-on pas réunis ici pour un but important Haut-Roi des nains?! Ne suis-je pas venu pour vous faire part d'une nouvelle, émanant de ma Reine?! Une guerre se prépare et tout ce que vous pensez faire c'est manger et festoyer. La bataille ne vous interesse-elle donc en aucuns points? L'avenir de votre peuple est-il moins important que le sanglier roti. "

Ses paroles transpercèrent le repas tel une lame de samouraï transperçant un corps. Ses mots étaient un peu froid. Arwën regarda ses mains qui s'étaient resserraient en formant deux poingts. Arwën se sentait peut être un peu déléssée mais elle savit qu'il y avait une bonne raison donc resta neutre. Valten s'était rassis sans que la jeune elfe pû le remarquer. D'un geste, il poussa son assiette devant lui toujours sans adresser un regard à sa bien aimé. Soudain, une main chaude et ferme se posa sur ses mains. Arwën se doutait que c'était celles de Valten mais du coin de l'oeil, Arwën remarquait qu'il ne laissait échapper aucun sentiment. L'elfe passa ses mains sur la sienne et lui la caressa amoureusement.

Son amour pour lui se renforçait de jour en jour, comme une fleur poussant dans un champ pour devenir de plus en plus belle. Eh bien, Arwën espérait vraiment que leur amour pousse et devienne une de ses ravissante fleur dont tous le monde rêve, un amour infini, un amour éternel...un amour qui conscernait deux personnes qui s'aimaient plus que tout...Arwën n'adressa pas un seul mot de la soirée, ses mains étaient restées sur celles de Valten.

Thogrim était attablé. Il mangeait et buvait tout en admirant le spectacle. Puis Valten fit une annonce. Il présenta le décrèt de la Reine qui stipuler que tous hommes et femmes des terres d'Endor devait revenir au Palais et en Terre Royal. Thogrim ne put que saluer les paroles de Valten, et il n'eut pas le temps de s'essuyer la bouche que valten réenchérit :

" Je sais bien ,messire, que peu d'Hommes sont a comptés parmi vous mais je vous serez gré de me prévenir en cas de cela. "

Thogrim acquiesa d'un signe de tête tout en finissant d'avaler sa bouchée. Puis ce qui devait se produire arriva. En effet, Valten avait lui aussi détecté une présence inconnue, bien que connue pour ce guerrier. Thogrim regarda Valten se lever et allé chercher la princesse Elfe derrière le rideau.

" ...Bonsoir à tous ! Je me nomme comme l'a dit Sir Valten Arwën Leyhola. Je viens de Kerilin... " D'un ton presque géné la princesse elfe se présenta à toute l'assemblée. après avoir reçue des signes de têtes nombreux et fut assise aux côtés de Valten.

Thogrim la salua également d'un fort sourire et repris son repas. Il se demandait pourtant comment une jeune princesse avait put entrer si facilement sans se faire repérer, ni présenter et surtout comment un valeureux guerrier avide de pouvoir et de sang pouvait être aussi doux avec elle.

Pendant que les troubadours continuaient à faire leur choses, que les convives festoyaient, Valten fut pris d'une folie passagère. Thorgrim connaissait cet état car il avait recueilli Valten quelques fois et il avait eut le plaisir de l'étudier. Il savait comment il se comportait, comment il pouvait passer de fort agréable à fort imbuvable. Ses crises de lunatismes et de folies avaient été déclenché par la mort de sa femme. Thogrim l'avait alors recueilli alors que pour se venger il avait assassiné plusieurs hauts-dignitaires humains.

Valten se leva et clama haut et fort pour que tout le monde l'entende, et ça tout le monde l'avait entendu. Il prit une voie roque et grave.


" Ne nous sommes-t-on pas réunis ici pour un but important Haut-Roi des nains?! Ne suis-je pas venu pour vous faire part d'une nouvelle, émanant de ma Reine?! "

Il reprit un soupçon de respiration et continua de plus belle.

"Une guerre se prépare et tout ce que vous pensez faire c'est manger et festoyer. La bataille ne vous interesse-elle donc en aucuns points? L'avenir de votre peuple est-il moins important que le sanglier roti. "


Son visage était froid et grave. Il semblait réelement touché mais l'envie de tué était aussi forte que son envie d'embrasser Arwën. Et oui Thorgrim n'était pas fou et avait compris se qu'il tramait entre ses deux jeunes gens.

Thogrim attendit que Valten se rassit et rigola.

" Cher Valten ne voulait vous pas finir votre diner et nous en discuterons dans mon bureau, ma salle des banquets n'est pas le lieu ni le moment pour parler de guerre."

Thogrim se leva et haussa ses mains le plus haut possible "Festoyons mes amis, Festoyons."

Valten était assis et ne mangeait plus rien. Il espérait simplement que l'on se préoccupe réelement des problèmes qui touchaient la terre en ce moment. Un haut-roi venait de se faire tuer, deux soeurs se battaient pour le trône et une guerre se déclencherait probablement entre Elfes et Nains, avec l'intervention probable des humains. Mais, nous étions là à manger, festoyer, rigoler et s'amuser.

Valten posa sa serviette et allait se lever quand Thogrim prit la parole.

" Cher Valten ne voulait vous pas finir votre diner et nous en discuterons dans mon bureau, ma salle des banquets n'est pas le lieu ni le moment pour parler de guerre "

Le visage se Valten se décoinca, il était un tantinet moins froid. Thogrim venait de lui avouer qu'ils allaient aborder le sujet et rapidement. Mais la dernière phrase de Thogrim, rendit Valten fou de rage.

" Festoyons mes amis, Festoyons. "

C'était anisi, la nature des êtres n'était donc fait que d'amusement. Le regard de Valten devint rouge sang et noir ébène. Il se leva d'un geste prompt et sortit en furie. Il dégagea tout son passage, ouvrit les grandes portes de la salle d'un geste violent et on ne le vit plus. Il prit la direction des mines du Beors, là où Thorgrim lui avait conseillé de se réfugié quand ses crises de nerfs le prenait à la gorge.

Valten regarda derrière lui, il n'était pas suivit mais il commença à courir, à haleter et il devenait parano. La folie le prit comme un venin dans son sang. Il devenait fou, et furieux. Il ne savait plus où il était ni qui il était. Il s'enfonça de plus en plus dans les mines noires et profondes des montagnes naines.

Valten avait déjà eut des crises de folies comme cela, il avait surnommé cela la Frénésie. dans cet état second, il devait fort, encore plus fort, mais il devenait surtout sanguinaire, sans âme sans pitié. Il tuerait une armée entière, il avait la capacité physique de se surpasser. Il ne ressentait pas les coups, ni la douleur, ni la soif, ni la faim. C'était comme cela qu'il avait réussi à s'en sortir contre les armées nordiques, il était devenu frénétique et avait tué sans relache les deux douzaines de soldats envoyé par le Haut-Roi des Nordiques. Personne ne connait son état, personne ne connaissait son secret.

Mais il semblerait bien que même lui ne connaisse cette partie de lui car une fois son état fini, une fois que Valten redevient Valten, une forte fatigue prend place, assommant Valten pendant plusieurs heures. Généralement, il se reveille à la taverne, avec une piche de bière à ses côtés et un grand mal de tête. Mais qui est-donc la personne qui veille sur lui, qui est donc la personne qui le ramène à chaque fois dans cette taverne? Personne ne le sait, même pas Valten.

Valten, sa course finie, arriva dans un cul de sac, la mine ne continuait plus, il n'avait croisé personne, heuresement car sinon il les aurait tué. Il s'assit contre les parois minières et se prit la tête entre les mains.

*Qu'es ce qu'il m'arrive?!**

En effet, Valten se demandait se qu'il lui arrivait, ce qu'il se passait car comme je viens de vous l'expliquer, Valten n'était, normalement, jamais conscient de son état frénétique.
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Pendant ce temps là, dans la salle des banquets, tout le monde regardit partir, furieux, Valten. Mais une fois les portes franchies et celles-ci fermées, toutes les convives reprirent leur diner. Seuls Arwën, Thogrim, Leili et le second de Valten, Gallen, se regardèrent. Personne ne sut quoi faire, ni quoi dire.

Gallen prit la décision de se lever ...

Arwën était là. Personne ne se souciait d'elle et encore moin la regardait. Elle se sentait un peu à l'écart, comme un fantôme à l'allure flasque assise a une table, ne disant mot. Son regard se perdait dans le paysage étrange. Etaient-ils là pour festoyer ? Ou pour parler des graves problèmes dont Valten avait parlé ? Les rires et les glouglou emplirent la salle qui humait la nourriture et tout autres mets délicieux. ses mains étaient posées auparavant sur celle de Valten mais peu de temps après, il avait enlevé la sienne. A ce moment là, Arwën désirait ardament partir pour rentrer chez elle. Son esprit grouilé de nombreuses questions, de phrases diverses mais aucune ne lui semblait bonne a dire.

Quelques minutes après, un lapse de temps très court d'ailleur, Valten se leva. Son regard avait changé. Il était avant pétillant de joie et de bonne humeur mais était remplit déshormais mis rouge comme une pétale de rose et mis noir tel les profondeurs de l'enfer. Ce regardait fit frissonner l'elfe. Celle-ci se redressa lorsque son amour se leva. Il semblait vraiment en colère, une colère noir. La jeune elfe vit qu'il s'en alla d'un pas décidé. Arwën le suivit, ce n'était pas compliqué car il faisait énormément de bruit, en déguageant tous le monde ainsi que toutes choses sur son passage et son souffle de buffle s'entendait de loin.

Une fois la longue marche terminée, Arwën remarqua qu'il c'était en faite dirigé vers le fin fond des mines du Beors. Valten était a quelques mètres d'elle, elle l'observait silencieusement, son faible corps tremblait encore après la vision du regard enflammé par le tisonnié de la haine de Valten. Valten c'était enfin arrété, adossé contre les parrois de la mine, sa tête dans ses mains, le regard perdue. D'après se que l'elfe put remarqué, il s'en voulait énormément de son comportement.

Arwën s'avança doucement vers son amour dépité. Elle s'accroupit a coté de lui. La jeune elfe sortit de sa sacoche un petit mouchoir en dentelle blanche et lui essuya son frond moite. Son regard se voulait réconfortant et ses geste légé pour calmer Valten. Une fois qu'elle eut finit, Arwën rangea le mouchoir dans sa poche et posa sa tête sur l'épaule de Valten, posant sa main sur les siennes et lui demanda d'une voix douce.

"...Qu'est-ce qu'il t'a prit Valten ? Je t'ai regardé pendant le banquet et je crois savoir pourquoi tu es en colère, mais cette colère ne résoudra rien...Calme toi, je ne veux pas te voir comme cela, ceci me fait mal au coeur..."

Arwën se serra contre lui, ne disant plus un mot, ils étaient seul. Le silence se fit sentir dans les profondeurs de la mine. L'elfe réconfortait son amour d'une manière extrèmement douce pour qu'il ne lui en veuille pas de l'avoir suvie jusque ici.

Arwën vint s'assoir à ses côtés. Elle s'emblait essouflée, avait-elle couru? Valten avait du courir vite et pendant une distance assez importante. Quand Valten rentrait dans un état frénétique comme celui-ci ses forces étaient déculplées, il ne sentait plus la fatigue, ni le besoin de manger, dormir ou même se reposer.

Valten était toujours adossé contre les parois de la mine. Elle le rejoint donc et essuya son front moite avec un mouchoir de soie blanche. Il ressentit quelques remords à voir cette belle lingerie essuyer un front si sale. Une fois chose faite, elle le rangea dans sa poche et posa sa êtite tête tout en douceur sur son épaule. Puis elle brisa la froideur du silence environnant.

"...Qu'est-ce qu'il t'a prit Valten ?"

Valten redoutait cette question. Il n'avait encore jamais du expliquer à quiconque son le pourquoi de son état. PArfois, lui meme ne le comprenait pas, il arrivait quand la pression montait de trop, quand Valten était eprturbé contrarié ou seulement en danger.

Seulement la situation était différente car tout ceux qui l'avait vu dans cet état était mort mais là tout était différent : elle était son amour, sa compagne, sa vie, sa tendre et chère épouse ... Il se devait de lui répondre, de lui expliquer se qu'il se passait en lui ...

" Arwën, ce que je vais te dire, je ne l'ai encore jamais dit, ... à personne. Cela fait partie de moi, de ma vie, c'est un secret que je tente par tout les moyens d'enterrer. Cela à commencé lorsque j'ai perdu ma femme et ma fille dans l'incendie de notre maison. Je n'était alors qu'un simple prince et une armée inconnue à mis feu à ma maison.

Valten essaya de garder son calme et même si il bafoullait il devait finir.

" Je suis devenue soldat comme l'espérait mon père, et mon ascension est devenu plus fulgurante que prévue. J'ai tout mis en oeuvre pour devenir un valeureux guerrier et ainsi trouver la force qui me permettra de venger ma famille. Mais cela était trop pour un jeune homme de mon age. Je tombis dans la dépression, puis dans la folie. Je réussi à calmer cet état en rejoingnant la grande cité de Echoriath, où un nain me recueillit et m'appris le controle de mes pulsions. Mais quand tout dérape... je dérape et mon inconscient avec ..."

Valten plongea sa tête dans les bras d'Arwën, il se sentait soulagé mais tellement honteux de se qu'il venait de lui dire.

Sa tête posée sur son épaule musclée, Arwën sentait la respiration haletante de Valten ainsi que son coeur battre à s'en déchirer la poitrine. Son coeur à elle était tout triste à la vue de son amour dépité, crevé par le poids d'un paquet de souvenirs dures. Arwën posait son regard tendre dans celui de son amour. Elle ne voulait pas le voir souffrir ainsi, elle désirait tellement l'aider mais comment ? Tout simplement en lui offrant tout l'amour qu'elle pouvait offrir à un homme. L'amour de Arwën pour Valten était si grand qu'elle pourrait en donner sa vie si cela était neccessaire.

Un coup de vent ébourriffa les cheveux longs et blonds de Arwën, son visage couleur ivoire était vraiment blanc. Ses lèvres étaient rouges sang et ses yeux bleu infinis ressortaient, ses gracieuses mains étaient désormais posées sur les épaules de Valten. Elles se resserrèrent un peu, la jeune elfe aux mains douces et chaudes fit un petit massage à son amour. Arwën espérait que cela lui fasse du bien, le décontracter un peu pour qu'il soit un peu moin tendu, un peu plus tendre.

Ses lèvres charnues et chaudes se posèrent dans le creux de son coup, lui déposant ainsi un délicieux baiser innoubliable qui pouvait réchauffer son coeur glacé. Elles se séparèrent de sa peau frèche et légèrement poussiéreuse, affichant un grand sourire tendre sur son visage à l'expression amoureuse. L'âme de Valten allait être ravivée par tous les moyens de Arwën, elle ferait tout pour lui, elle le ferait et à n'importe quel prix. La voix grave et triste de Valten retentit, il lui expliqua les résons de son comportement.

" Arwën, ce que je vais te dire, je ne l'ai encore jamais dit, ... à personne. Cela fait partie de moi, de ma vie, c'est un secret que je tente par tout les moyens d'enterrer. Cela à commencé lorsque j'ai perdu ma femme et ma fille dans l'incendie de notre maison. Je n'était alors qu'un simple prince et une armée inconnue à mis feu à ma maison. Je suis devenue soldat comme l'espérait mon père, et mon ascension est devenu plus fulgurante que prévue. J'ai tout mis en oeuvre pour devenir un valeureux guerrier et ainsi trouver la force qui me permettra de venger ma famille. Mais cela était trop pour un jeune homme de mon age. Je tombis dans la dépression, puis dans la folie. Je réussi à calmer cet état en rejoingnant la grande cité de Echoriath, où un nain me recueillit et m'appris le controle de mes pulsions. Mais quand tout dérape... je dérape et mon inconscient avec ..."

Les bras de Arwën entourèrent les épaules de Valten, la tête de Valten était posée dans le creux de sa poitrine chaude, là où son coeur ne battait que pour un seul homme, son homme, Valten. Elle posa une de ses mains sur sa nuque et l'autre dans ses cheveux qu'elle caressait amoureusement. La jeune femme le redressa un peu devant elle, son regard infiniment remplit de tendresse et de bontée était plongée dans le sien.

"...Oh...Valten...Je ferais tous mon possible pour te redonner la joie de vivre que tu avais eut avant la perte affreuse de se que tu chérissait plus que tout au monde. Je t'aiderais à retracer le chemin de ta vie jusqu'à notre mort, je t'aime Valten...Je te suivrais jusque dans les chemins les plus dangereux, sur les pentes les plus ardus et même dans les profondeurs noirs de l'enfers, je te suivrais..."

Arwën conclut avec un petit baiser sur les lèvres du guerrier pour lui redonner du courage. Ses paroles étaient pleines de sentiments réels, elle avait dit se qu'elle pensait vraiment, ses mots étaient sortis tel une pluie que l'on ne pouvait arreter comme ça. Son regard tendre ne quittait pas Valten, attendant sa réaction.

Valten et arwën formait un couple idéal, un couple envié de toues et tous. Bien qu'il était un fervent guerrier et elle une pacifiste renomée, qui je suis sur ne reculerait devant rien pour défendre sa patrie, l'amour était bien réel entre ses deux amants.

Cet amour était encore plus vri qu'il était infini et de partout. Jusqu'au plus profond des mines des montagnes du Beors, la où la froideur était intense et le silence pesant, l'amour que lui donnait Arwën réchauffa le coeur de valten. Ses gestes, ses paroles brisèrent son coeur de pierre et rendit à l'Homme sa bontée, sa douceur et son innocence.

" Oh...Valten...Je ferais tous mon possible pour te redonner la joie de vivre que tu avais eut avant la perte affreuse de se que tu chérissait plus que tout au monde. Je t'aiderais à retracer le chemin de ta vie jusqu'à notre mort, je t'aime Valten...Je te suivrais jusque dans les chemins les plus dangereux, sur les pentes les plus ardus et même dans les profondeurs noirs de l'enfers, je te suivrais... "

Valen serra Arwën contre lui si fort qu'il sentait son coeur battre et battre en même temps que le sien. Ils ne formèrent plus qu'un et cela redonna du courage à un homme affaibli par la tristesse. Commeent pouvait-il encore penser à sa défunte épouse et se mettre dans un tel état devant sa nouvelle amante?!

Il se releva et rebomba le torse. La fierté masculine et sa force mentale avait reçue un coup mais il était bel et bien de retour: le valten fier et fort que chacun connaissait et que chacun aimait. Il souleva avec douceur sa bien-aimée par les épaules et lui donna un doux et tendre baiser comme il savait faire.

" Je n'aurais qu'une seule chose à te dire : merci. "

Puis il ferma les yeux et se ravisa. " Mais aussi que je t'aime. "

Ils rigolèrent tous deux de vive voix et reprirent ensemble le chemin de la salle des banquets.

" Amour, je te suis reconnaissant mais telement désolé. Oui je suis désolé de t'avoir montré un homme faible. J'espère que tu no'seras penser que je suis faible. Saches que je serai à tes côtés pour toujours et que je donnerai ma vie pour toi, car je t'aime tout simplement. "

Valten avait repris confiance et courage en lui, il n'avait plus peur de parler, il n'avait plus peur d'exprimer se qu'il ressentait, il était de nouveau un homme sensible et valeureux. Il avait perdu cette flamme qui animait son coeur en même temps qu'il avait perdu sa femme et sa petite fille. Mais il venait de la retrouver grâce à cette princesse, rencontré au détour d'une guerre qui se présente et cela ravissait Valten car il savait que l'amour avant la guerre était un bon présage.

Arwën caressait la main de Valten. Elle se demandait quels étaient ses expérience en matière d'amour. Comblait-il d'amour sa femme et sa fille ? La jeune elfe voulait savoir si ils se mariaient, se qui serait peu probable, serait-il à ses cotés le plus souvent possible et dès que le temps lui accorde un moment de répis ? Tout se qu'elle voulait, se n'était pas l'avoir pour elle toute seule, bien au contraire, mais juste pouvoir fonder une belle famille, même si ce n'est qu'a deux, sans enfants, elle serait quand même contante. Eh puis comme le dit un diction, 'le coeur d'une fleur peut être comblé par une simple goutte d'eau'. La goutte d'eau pour Arwën c'était l'amour que lui offrait Valten chaques jours qui passaient.

La main de Arwën monta sur son doux visage et le lui caresas doucement, lentement, sa peau était légèrement piquante mais Arwën s'en fichait complètement, tant qu'elle pouvait lui montrer d'une quelquonque manière qu'elle l'aimait, elle le ferait. Le regard bleu infini de la jeune elfe se posa sur le visage de son amour. Qu'est-ce qu'elle désirait avoir le pouvoir de faire sourire une personne malgré son passé. Soudain, Valten serra sa ducliné contre lui, contre son coeur qu'elle entendait battre à tous rompre et à la même vitesse ainsi que la même force que le sien.

Arwën fut heureuse de voir que Valten se releva pour immédiatement rebomber son torse comme un guerrier vainqueur. Ah ! Qu'elle était contente en ce moment là. Voir son amant reprendre le sourire si vite lui réchauffer son coeur si faible. Avec douceur, Valten souleva Arwën pour l'embrasser effusivement. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait plus sentit ses lèvres chaudes contre les siennes. Exactement un jour pour tout dire...Bref, cela pouvait faire une internité pour deux jeune gens qui s'aiment à en mourire.

" Je n'aurais qu'une seule chose à te dire : merci. "

Puis il ferma les yeux et se ravisa. " Mais aussi que je t'aime. "

La jeune elfe souria à Valten puis sils rigolèrent tout en reprennat le chemin du retour en direction du banquet. Arwën écouta son amant parler tout en marchant, elle l'écoutait attentivement, elle n'écoutait que lui. Arwën l'aimait plus que tout au monde après tout.

" Amour, je te suis reconnaissant mais telement désolé. Oui je suis désolé de t'avoir montré un homme faible. J'espère que tu no'seras penser que je suis faible. Saches que je serai à tes côtés pour toujours et que je donnerai ma vie pour toi, car je t'aime tout simplement. "

"Ne t'inquiète pas Valten. Je ne voulais pas te voir comme cela mais tu as tes raisons et tu n'as pas à t'excuser, je n'ai dit avant que ce que je pensais maintenant je ne veux pluis avoir d'excuses, tu vis comme tu le sens, je te suivrais quoique tu dise, c'est tout..."

Arwën lui offrit son plus beau sourire. Valten semblait être remplit de courage, il semblait aussi avoir reprit confiance en lui. Etait-ce grâce à sa chère amante qui pense tout le temps à son bien être et qui voulait le réconforter à chaques problèmes mais sans savoir de quoi il s'agit ? En tous les cas, Arwën savait que jamais elle n'interfèrerait dans ses sentiments, dans son passé et dans ses actions sauf si cela la consernait.

Arwën sentit que Valten était tendu. Elle savait que cette guerre serait surment longue et qu'ils serraient séparés pendant longtemps mais ils n'avaient pas le choix. Ils entrèrent dans le château mais non loin de la salle du banquet, Valten s'arrêta au grand étonnement de Arwën. Le guerrier prit les mains de la jeune femme pour ensuite plonger son regard au plus profond de ses yeux bleu infini, peut être arriverait-il à voir son âme. Valten semblait inquiet pour leur futur, ce qui est tout à fait logique quand on y pense. La guerrer pourrait durer trois mois, cinq, dix, et plus ! Vivre sans sa seconde moitier était très dure surtout lorsque ses deux personnes s'aimaient très fort.

" Je voulais te dire... Nous allons nous réunir entre chef de guerre. Ce qui sortira de cette réunion sera peut-être la pire décision que je n'aurai à prendre et je ne veux pas que tu m'en veuilles. "

D'une voix aussi douce et fluide que de la soie, la jeune elfe lui répondit sincèrement.

"...Je sais que tu feras se que tu as a faire. Je n'interfèrerais pas dans tes descisons sauf si je les trouves irréfléchies et sucidaires. Je te fais confiance mon amour...Je suis avec toi et pas autre part, Je serais d'accord avec toi sur toutes les décisions qui consernent ton peuple et celui des nains mais pour ce qui est du mien, je préfèrerais avoir mon avis à dire..."

Arwën savait que Valten était né pour la guerre mais elle ne voulait pas le perdre. Dieu seul sait combien cette guerre fera perdre des personnes, arracher des mères à leurs enfants, des pères à des familles, et rasé les villes. Le sang serait la principal source d'eau et la boue colerait au corps des guerriers. L'idée de perdre Valten dans la guerre térrifié Arwën qui voulait vivre encore longtemps avec l'homme de sa vie. Les guerres affaiblissent le peuple et le rendent vulnérable à de nouvelles attaques extérieur. La voix du guerrier se fit à nouveau entendre.

" Je dois prendre une décision maintenant pour notre couple. Soit je t'emmène dans ma principauté, dans mon château où tu y seras en sécurité, ou bien tu reste dans ta cité, mais tu risque d'être confronté à du sang, des cadavres et surtout à combattre. Car si une guerre entre les elfes se déclarent tu devras choisir un camp et surtout tu devras tout faire pour survire, tant est soit-il que je ne serait pas à tes côtés tout le temps. "

La proposition de Valten était intelligente mais si elle partait pour la cité des humains, elle serait prise pour une traitresse et surment une trainée chez les elfes. Se serait salir son honneur et Arwën ne voulait pas ça. Si elle était chez les humains, elle pourrait les aider car il n'y a pas de magie donc si il y a des blessés, elle pourrais les soigner grâce à sa magie. En plus il avait raison, si une guerre se préparait de son coté, elle devrait choisir son camp et ça, la jeune elfe ne voulait pas. Il regarda un moment le Roi des nains et la Reine des elfes monter ensemble les escaliers puis se tourna à nouveau vers sa bien aimée pour insister et pour qu'elle lui donne sa réponse, Arwën hésitait.

"Alors que veux tu faire, joins-tu à nous, et tu décidera de combattre, reste en arrière et tu décideras de te mettre à l'abri dans mon château."

Pendant que l'elfe cherchait une réponse, Valten se tourna vers Thogrim pour leur dire de les attendre un peu. Arwën se redressa un peu et regarda son amant. Elle le trouvait magnifique. Doux, gentil avec elle, galant et beau, d'après elle.

"...Je vais aller avec toi...Même si pour ça je salis mon honneur, je préfère aller dans ton peuple que de choisir un camp dans le mien...Je t'aime tellement Valten...Si tu n'aimait pas autant la guerre je te supplierais de ne pas y aller mais c'est ton choix..."

Arwën passa une main sur son visage pour essuyer la larme qui commençait à couler puis elle s'approcha de son amour et déposa un tendre baiser sur son frond pour ensuite se blottir contre son corps, prèt de son coeur et l'écouta silencieusement.